PHYSIOMANCE NASH apporte pour 6 comprimés :
- 400 mg de bitartrate de choline brevetée VitaCholineTM , qui contribue au maintien d'une fonction hépatique normale ;
- 300 mg d'extrait de romarin titré à 120 mg d'acide ursolique, qui favorise le drainage hépatobiliaire, aide à soutenir le fonctionnement normal du foie et soutient la fonction hépatique et biliaire ;
- 250 mg d'extrait de chardon-marie titré à 200 mg de silymarine, qui contribue au potentiel de détoxification du foie, à sa protection et son bon fonctionnement ;
- 20 mg de glutathion, apporté sous sa forme la plus biodisponible : S-acétyl-L-glutathion ;
- 50% des AR* en vitamine E naturelle, qui contribue à la protection des cellules contre le stress oxydatif ;
- 2 g de L-ornithine-L-aspartate, 50 mg de N-acétylcystéine et 4 mg de lycopène, pour compléter la formule.
*AR : Apports de Référence
Pourquoi choisir PHYSIOMANCE NASH du Laboratoire THERASCIENCE ?
Pour sa formule complète associant 7 bio-actifs (L-ornithine-L-aspartate, bitartrate de choline, romarin, chardon-marie, N-acétylcystéine, glutathion et lycopène) à de la vitamine E naturelle, contribuant au bon fonctionnement du foie.
L'avis de l'expert
Les pathologies hépatiques de surcharge lipidique, communément appelées ''maladie du soda'' ou ''maladie du foie gras'', sont désormais la principale cause de maladies chroniques du foie en Occident en l'absence de consommation excessive d’alcool.
Maladies métaboliques à composante nutritionnelle et environnementale, ces pathologies vont de la simple stéatose non alcoolique (NAFLD ou Non-Alcoholic Fatty Liver Disease), affection réversible si elle est prise en charge à temps, à la stéato-hépatite non alcoolique (NASH ou Non-Alcoholic Steato Hepatitis), qui peut évoluer vers la fibrose voire la cirrhose, pathologies graves et non réversibles.
La NAFLD se caractérise par une accumulation anormale de triglycérides dans au moins 5% des hépatocytes. Elle se développe le plus souvent sans signes cliniques apparents. Elle est fortement corrélée à l’obésité et au syndrome métabolique, et elle est associée de façon indépendante à une augmentation de la morbidité et de la mortalité cardiovasculaires.
L’épidémie de NAFLD touche tous les pays. En France, elle concerne plus de 20 % de la population, dont de plus en plus d’adolescents et de sujets jeunes en surpoids, ce qui souligne l’importance de la mise en place d’un dépistage et d’une prise en charge précoces.
Dans 12 à 40 % des cas, la NAFLD évolue vers la NASH. La prévention est donc indispensable.
Les divers traitements pharmacologiques proposés ne montrant à ce jour qu’une efficacité limitée, la mise en œuvre de mesures hygiéno-diététiques, incluant l’usage de complémentations nutritionnelles adaptées, reste à ce jour une stratégie de prise en charge à privilégier.